Collection Belem par 727 Sailbags, l’héritage de la voile classique à la française. Quand on pense à la voile, le Belem en est le parfait symbole. Ce monument évoque la quintessence même de 727 Sailbags : la liberté donnée par la mer. Ces deux-là étaient fait pour se rencontrer. Taillée dans des voiles anciennes qui rappellent celles des yachts classiques, cette collaboration représente incontestablement l’élégance et l’authenticité à la française. Le Belem associe son image à notre collection de maroquinerie et de bagagerie. Pour cette collaboration, 727 Sailbags a façonné une gamme de produits qui s’inspire des voiles d’origine du trois-mâts de légende. La robustesse de la voile recyclée s’allie à un cuir au toucher subtil. La collection Belem par 727 Sailbags s’inspire des coutures en zig zag propres aux voiles d’origine du trois-mâts de légende. Plus qu’un voilier : une école de la mer, de la vie. Seul survivant des légendaires voiliers du XIXème siècle, le Belem continue d’exister et de faire rêver plus de 30.000 personnes qui le visitent chaque année. Pour faire perdurer le rêve, 727 Sailbags décide donc de reverser une partie des bénéfices à la fondation Belem. Monument historique, il est aujourd’hui grâce à cette fondation, un formidable outil de transmission, dédié aux apprentis marins et au public qui se presse sur son pont. La célèbre silhouette du trois-mâts de légende voit le jour en 1896 dans un chantier proche de Nantes. Sa solide coque en acier chargée de cacao sillonne l’Atlantique, reliant la France au comptoir portugais de Belem au Brésil. Passé successivement entre les mains de trois armateurs jusqu’à la première guerre mondiale, le navire marchand est aménagé en yacht de luxe par le Comte de Westminster, avant d’accompagner Sir Arthur Guinness dans ses rêves de navigation au long cours. A Venise, il devient navire école pour la fondation Cini, puis disparait dans un chantier naval de la lagune avant d’être retrouvé par hasard par un Français. Racheté par la Caisse d’Epargne en 1979, le Belem rejoint la France pour être restauré puis remis à flot. 16 hommes d’équipage perpétuent à son bord la tradition de la voile classique à la française.